Bonjour à tous,
Alors voilà j'étudie en littérature l'oeuvre de Rousseau, Lettre à d'Alembert.
J'ai une dissertation à faire dessus, mais j'ai toujours eu beaucoup de mal avec Rousseau. De plus sa lettre est très complexe et j'avoue avoir des difficultés à répondre à ma dissertation.
J'ai déjà une vague idée de plan, mais pour le reste je sèche... Si vous voulez bien me venir en aide.
Merci beaucoup.
La tragédie est un jeu d’enfant, une innocente misère, contre laquelle il faut bien rompre quelques lances, parce qu’il y a deux genres, et des pièces tragiques, et qu’il faut bien citer Corneille, Racine et Voltaire, et les héros-criminels-qui-ne-sont-pas-si-antipathiques, etc… etc. Mais combien Rousseau manque de Flamme, et de mordant, et d’idées ! Non le véritable sujet, le vrai paradoxe, le grand adversaire, c’est le comique, la comédie, Molière – Molière, l’homme qui voulait rire, le prétendu ennemi des vices, le perfide ennemi d’Alceste ! Son Ponce-Pilate, qui le crucifie tous les soirs. » (Jean Goldzink). Dans quelle mesure ce point de vue sur la Lettre à D’Alembert vous semble-t-il susceptible d’en éclairer la lecture.
I. La rupture d’une tragédie
1. Deux types de tragédie
2. La dénonciation de Rousseau
II. Une double interrogation : le ridicule et le vice
1. Molière ou le maître du vice
2. Le motif d’Alceste
III. Abandonner la perfection
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